LE PROBLÈME PRINCIPAL N'EST PAS
QUE LE BRUIT QUE CELA FAIT, MAIS SURTOUT LE TEMPS QUE CELA DURE:
La dose est de l'ordre de 1 à 2 heure de cumul de bruit, mais
étalé sur 5 heures de temps de privation de
l'accès à la nature: libre à vous
d'aller dans la nature... certes, mais si vous avez besoin de calme et
de paix, c'est "foutu": la nature ne soigne plus.
Depuis 2010 jusqu'à actuellement
(2019), le tourisme aérien, sans contrainte horaire ni
stratégie de groupement des passages survole les lieux tout
simplement quand la météo est favorable:
Concernant les solutions proposées pour réduire le temps
occupé,
Le dialogue a paru s'engager vers 2014 en rencontrant le
sous-préfet de l'époque, puis les réunions de
concertations ne sont pas venus, et on est arrivé à une
situation d'indifférence suite au non respect du mot d'Ordre d'un
haut responsable de la division "développement durable" de la
DGAC "N'évoquez JAMAIS une réduction de l'activité"
et le principe de refus "limiter c'est interdir". Tout est resté
comme avant en empirant au rythme de l'ajout de nouveaux appareils,
jusqu'à que les chinois toussent..
"Il y a un blocage avec la DGAC ou DSAC-OI pour
intégrer votre assoc au groupe de travail qui a
été validé."
C'est ainsi que le beau temps est toujours
accompagné, jusque tard, jusque dans l'après midi du bruit
aérien, qui "casse l'ambiance"
La nature n'est rendu que par temps couvert, au point que même les
oiseaux endémiques suivent ce conditionnement "quand il faut beau
on attend que ça passe", et se montrent actif que quand le calme
devient garanti par la couverture nuageuse.
Dans un logique de respect des population et de la nature, la seule
solution pour tolérer ce type de nuisance est au moins de
la canaliser: limiter l'emprise temporelle (plage horaire 7
à 9h = 2 heure de sacrifice au lieu de 5 à 7h: et
regrouper les passages plutôt au début de la
journée, (c'est la seule option logique, la météo
n'est fiable qu'à ce moment), pour libérer les lieux, et
au plus vite, pour le restant de la journée, et adopter
parralèlement des stratégies de minimisation d'impact, par
exemple les virages à forte inclinaison, la descente rapide avec
les nouveaux hélicos, ou autre manoeuvre qui selon
aéronef, rendent ceux ci bien plus bruyants.
Nuisances sonores (tourisme aérien surtout)
Des enregistrements témoins de ce
qu'on a enduré repris depuis la sonothèque.
PAGE SPECTROGRAMMES ÉTÉ
2018
SPECTROGRAMMES à partir de
l'été 2020
Le
temps de privation d'accès au calme dans la nature.
Représentatif d'une journée
en saison touristique: ce mp3 avec son analyse temps
fréquence: ce qui est surligné (mis en couleur) est
écoutable ici en
mp3 durant
3h22mn48"
d'ambiance sonore (extrait d'un wav de 2Go) et durant 5h44 (
de 6h du matin à midi moins quart YOUTUBE).
Écoutez ce
mp3 avec le volume sonore réglé pour
percevoir entre les passages d'hélicoptères, le paysage
acoustique ambiant (ententre les animaux, oiseaux, voitures qui
passent...)
Et imaginez que cela se reproduit chaque
jour durant des mois, surtout ceux de la reproduction des oiseaux
(octobre - décembre)...
Après 6mn30 depuis le début de
20180205_0953-1003.mp3 voici le son de
l'hélicoptère "le plus silencieux du monde"!!!
#Autres_exemples
IMPORTANT
Pour des raisons
techniques le son n'est pas ajusté ("normalisé") et
paraît faible par rapport aux médias portant la radio, la
musique ou les montages vidéo, pour laisser de la marge pour
restituer des sons courts et violents de proximité et conserver
la dynamique nécéssaire à la mesure.
Le problème n'est pas que le
son soit fort, mais qu'il soit envahissant, ce que montre bien en
image les analyses temps-fréquence: ça dure des heures,
et perturbe les espaces natirels bien au delà des environs de
zone habitées ou de route, confisque les lieux de
receuillement.
SONOGRAMMES (analyse FFT+temps)
temps occupé synthèse.
ATTENTION: le son ne rend bien que sur des
enceintes multimédia ou de home-cinéma