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Survol de l'île de la Réunion,
Sur LE CIRQUE DE CILAOS,
Retours d'évaluation de la nuisance occasionnée
Août 2016
Bilan: en cours d'observation.
Fin
août révèle un constat généralisé de la part des touristes d'un niveau
de nuisance jamais connue auparavant. Reviens la remarque qu'ils
n'avaient jamais remarqué que c'était à ce point.
On se plaint surtout de Mafate, de Salazie, et du Volcan, mais avec une distorsion pour Cilaos car lors de cette enquête près de la Roche Merveilleuse (ou parfois le long de la route entre Bras Sec et Ilet À cordes, les touristes ne sont rencontrés que l'après midi, pour la simple raison que sortir le matin est trop difficile (à cause du bruit des hélicoptères), du coup ne sont rencontré que des touristes qui ne sont pas venu le matin à Cilaos et n'ont pas encore vécu le matin à Cilaos... Sauf les rares (très rares) qui ont passé la nuit et sont encore l
Le niveau de nuisance des jours passés et actuels (plus que 35 passages à la suite essai de comptage pour vérifier ) commence à avoir un impact "positif" pour la sensibilisation: les passages tardifs font que cette fois la nuisance rencontre une plus grande part de piétons, et surtout le pilotage est redevenu très bruyant (abandon, du moins jusqu'au 18 août excepté le 28 août, des précautions pour limiter l'impact).
Il y a un relâchement total et ici bas on peut se considéré comme "insultés" ou "méprisés" par si peu d'attention, comme si il y avait eu "là haut" une permission de ne plus faire attention sur la base que "ça ne gêne personne": passages tôts le matin (7h00 en hiver alors que tout est à l'ombre), trajectoires bruyantes, et continuation sur le tard sabotent désormais 4 à 5 heures de tranquilité dans les hauts, quasiment la moitié de la journée.
Les passages sur le tard et aussi bruyants exposent aussi une catégorie de touristes qui ignoraient totalement la nuisance auparavant (les promeneurs, même vers la Roche Merveilleuse).
À salazie des habitants font aussi état du retour "tout nouveau" des trajectoires bruyantes comme avant l'an 2000, phénomène constaté à CILAOS avec une recrudescence de trajectoirs maxi-nuisance (comme avant l'an 2000, approche rapide lors de la trajectoire Dimitile-Salazes, amorce de descente à l'entrée dans le cirque, avec faisceau de vibrations dirigé vers les habitants).
C'est les touristes locaux qui semblent les plus sensibles par ce qu'ils constatent une évolution nouvelle vers une dégradation rapide..
Mais les commerçants de Cilaos ne misent pas sur ceux là: ils tentent d'attirer les fêtards qui font la fête tard, qui boivent et cuvent à Cilaos jusqu'au laindemain.
Cilaos devient la destination de choix pour faire la bringue et rester la nuit pour ne pas prendre sa voiture après avoir bu, ainsi que faire le tapage nocture réprimandé dans les bas plus peuplés et moins tolérants.
Le commerce à CILAOS s'oriente vers une tentative de concurrence des plages (Tout est fait pour encourager le tourisme-de-bringue).
Il y a encore des gens qui aimeraient avoir la paix, mais nous sommes en "dictature du bruit".
de peur de déranger on se tait pour éviter toute tension et tout conflit. Dans un idéal du respect à zot on sombre dans une gentillese qui devient une telle soumission que l'aboutissement est d'être réduit à l'état de serpillière que d'autres piétinnent sans façon pour leur bizness...
Les touristes non locaux venant sur les lieux viennent souvent "en connaissance de cause": La Réunion est une "île d'éclate" où on peut faire du tapage et du tourisme à "grand spectacle" et se permettre ce qui est interdit en métropole (baiser, boire, fumer, faire du bruit dehors toute la nuit). Cette permisivité devient même un attrait touristique: on la préserve plutôt au dépens de ceux qui souffrent du tapage diurne et nocture au delà du code de la santé publique.
"Si vous n'aimez pas le bruit, allez ailleurs: c'est une zone touristique ici"
Le total relâchement vis à vis des nuisances sonores fait contagion en tout domaine.
Une catégorie de touriste qui était plutôt du genre à venir longtemps, et souvent, par exemple 3 semaines, à 2 mois tous les 3 ans ayant connu la Réunion entre l'an 2000 et l'an 2009 approuvent une dégradation constaté depuis 2010 "depuis l'Unesco", et expriment même l'abandon du projets de revenir encore: c'est "devenu insupportable" (les hélicoptères dans les haut mais aussi la circulation dans les bas), et aussi "c'est trop cher" (remarque du prix surtout par rapports aux gîtes)
Cilaos est aussi jugé (par des religieux) comme désormais "coupé de Dieu". Auparavant c'était un centre spirituel (un temple). Le symbole de cette coupure de Dieu, est l'absence de signaux sonore de l'église (ne sonne plus depuis des mois), le bruit envahissant les lieux, et un séminaire devenu zone commerciale.
Cette orientation du tourisme où émettre des objections sur le bruit est mal-venu peut se résumer en "dictature du bruit".
Les touristes ont tous été innondés de publicité et de reportages sur les hélicoptères à la Réunion et ne sont pas surpris d'assister ici à un meeting aérien: Mafate et autres cirques étant des grands trous isolés, l'amalgame est fait entre les hélicoptères "en continu" et "le nécéssaire ravitaillement de Mafate", du coup, les gens escusent ce vacarme même si c'est très chiant...
Situation retenue des semaines précédentes, bilan de Juillet 2016
- Le niveau de nuisance des jours passés et actuel est bien trop élevé pour ne pas être dérangé par le bruit, si on en est conscient, mais les gens rencontrés supportent en filtrant la perception sonore (par habitude), nient généralement avoir entendu quelque chose, et sont semblent même pas conscient du bruit le matin. Les gens qui se promènent supportent sans même s'en rendre compte une dizaines de survol à la suite: la beauté des lieux est telle, le "nouveau", que le positif sur l'instant contrebalance un ressenti négatif qui n'a pas le temps de se cumuler.
Beaucoup de gens sont eux même bruyants: ils tapent avec leur bâtons de marche et jacassent en groupe. Ils n'entendent pas un fond sonore avec un bruit constant, remarquent que les passages assez bruyants pour s'empêcher de parler, ce qui est encore assez rare pour se remarquer.
Distorsion de ce constat: les gens qui pourraient être dans la critique, ceux qui partent en grande randonnée et s'exposent plus fortement à la nuisance ne sont pas sur les lieux de l'enquête (petits circuits Roche Merveilleuse ou Tour de Bras Rouge) menée près de Cilaos.
On se plaint surtout de Mafate, de Salazie, et du Volcan, mais avec une distorsion pour Cilaos car lors de cette enquête près de la Roche Merveilleuse (ou parfois le long de la route entre Bras Sec et Ilet À cordes, les touristes ne sont rencontrés que l'après midi, pour la simple raison que sortir le matin est trop difficile (à cause du bruit des hélicoptères), du coup ne sont rencontré que des touristes qui ne sont pas venu le matin à Cilaos et n'ont pas encore vécu le matin à Cilaos... Sauf les rares (très rares) qui ont passé la nuit et sont encore l
Le niveau de nuisance des jours passés et actuels (plus que 35 passages à la suite essai de comptage pour vérifier ) commence à avoir un impact "positif" pour la sensibilisation: les passages tardifs font que cette fois la nuisance rencontre une plus grande part de piétons, et surtout le pilotage est redevenu très bruyant (abandon, du moins jusqu'au 18 août excepté le 28 août, des précautions pour limiter l'impact).
Il y a un relâchement total et ici bas on peut se considéré comme "insultés" ou "méprisés" par si peu d'attention, comme si il y avait eu "là haut" une permission de ne plus faire attention sur la base que "ça ne gêne personne": passages tôts le matin (7h00 en hiver alors que tout est à l'ombre), trajectoires bruyantes, et continuation sur le tard sabotent désormais 4 à 5 heures de tranquilité dans les hauts, quasiment la moitié de la journée.
Les passages sur le tard et aussi bruyants exposent aussi une catégorie de touristes qui ignoraient totalement la nuisance auparavant (les promeneurs, même vers la Roche Merveilleuse).
À salazie des habitants font aussi état du retour "tout nouveau" des trajectoires bruyantes comme avant l'an 2000, phénomène constaté à CILAOS avec une recrudescence de trajectoirs maxi-nuisance (comme avant l'an 2000, approche rapide lors de la trajectoire Dimitile-Salazes, amorce de descente à l'entrée dans le cirque, avec faisceau de vibrations dirigé vers les habitants).
C'est les touristes locaux qui semblent les plus sensibles par ce qu'ils constatent une évolution nouvelle vers une dégradation rapide..
Mais les commerçants de Cilaos ne misent pas sur ceux là: ils tentent d'attirer les fêtards qui font la fête tard, qui boivent et cuvent à Cilaos jusqu'au laindemain.
Cilaos devient la destination de choix pour faire la bringue et rester la nuit pour ne pas prendre sa voiture après avoir bu, ainsi que faire le tapage nocture réprimandé dans les bas plus peuplés et moins tolérants.
Le commerce à CILAOS s'oriente vers une tentative de concurrence des plages (Tout est fait pour encourager le tourisme-de-bringue).
Il y a encore des gens qui aimeraient avoir la paix, mais nous sommes en "dictature du bruit".
de peur de déranger on se tait pour éviter toute tension et tout conflit. Dans un idéal du respect à zot on sombre dans une gentillese qui devient une telle soumission que l'aboutissement est d'être réduit à l'état de serpillière que d'autres piétinnent sans façon pour leur bizness...
Les touristes non locaux venant sur les lieux viennent souvent "en connaissance de cause": La Réunion est une "île d'éclate" où on peut faire du tapage et du tourisme à "grand spectacle" et se permettre ce qui est interdit en métropole (baiser, boire, fumer, faire du bruit dehors toute la nuit). Cette permisivité devient même un attrait touristique: on la préserve plutôt au dépens de ceux qui souffrent du tapage diurne et nocture au delà du code de la santé publique.
"Si vous n'aimez pas le bruit, allez ailleurs: c'est une zone touristique ici"
Le total relâchement vis à vis des nuisances sonores fait contagion en tout domaine.
Une catégorie de touriste qui était plutôt du genre à venir longtemps, et souvent, par exemple 3 semaines, à 2 mois tous les 3 ans ayant connu la Réunion entre l'an 2000 et l'an 2009 approuvent une dégradation constaté depuis 2010 "depuis l'Unesco", et expriment même l'abandon du projets de revenir encore: c'est "devenu insupportable" (les hélicoptères dans les haut mais aussi la circulation dans les bas), et aussi "c'est trop cher" (remarque du prix surtout par rapports aux gîtes)
Cilaos est aussi jugé (par des religieux) comme désormais "coupé de Dieu". Auparavant c'était un centre spirituel (un temple). Le symbole de cette coupure de Dieu, est l'absence de signaux sonore de l'église (ne sonne plus depuis des mois), le bruit envahissant les lieux, et un séminaire devenu zone commerciale.
Cette orientation du tourisme où émettre des objections sur le bruit est mal-venu peut se résumer en "dictature du bruit".
Les touristes ont tous été innondés de publicité et de reportages sur les hélicoptères à la Réunion et ne sont pas surpris d'assister ici à un meeting aérien: Mafate et autres cirques étant des grands trous isolés, l'amalgame est fait entre les hélicoptères "en continu" et "le nécéssaire ravitaillement de Mafate", du coup, les gens escusent ce vacarme même si c'est très chiant...
Situation retenue des semaines précédentes, bilan de Juillet 2016
- Le niveau de nuisance des jours passés et actuel est bien trop élevé pour ne pas être dérangé par le bruit, si on en est conscient, mais les gens rencontrés supportent en filtrant la perception sonore (par habitude), nient généralement avoir entendu quelque chose, et sont semblent même pas conscient du bruit le matin. Les gens qui se promènent supportent sans même s'en rendre compte une dizaines de survol à la suite: la beauté des lieux est telle, le "nouveau", que le positif sur l'instant contrebalance un ressenti négatif qui n'a pas le temps de se cumuler.
Beaucoup de gens sont eux même bruyants: ils tapent avec leur bâtons de marche et jacassent en groupe. Ils n'entendent pas un fond sonore avec un bruit constant, remarquent que les passages assez bruyants pour s'empêcher de parler, ce qui est encore assez rare pour se remarquer.
Distorsion de ce constat: les gens qui pourraient être dans la critique, ceux qui partent en grande randonnée et s'exposent plus fortement à la nuisance ne sont pas sur les lieux de l'enquête (petits circuits Roche Merveilleuse ou Tour de Bras Rouge) menée près de Cilaos.