"Encore, voir des papiers par terre, des ordures
dans les chemins... Mais le bruit? qu'est ce que c'est, le bruit... il
y a bien d'autre problèmes plus importants!"
Et bien le bruit, devenu pollution sonore, ce qui est différent de
bruit-la-vie, est aussi une forme de "saleté"... il induit tout un
changement dans le vécu, donc la mémoire des lieux...
Le
bruit coûterait 57 milliards d'euros par an (en France) à
la société (2016 - prise en compte des arrêts de
travail pour stress ADEME)
Le
bruit coûterait 147 milliards d'euros par an (en France) à
la société (2021 - prise en compte de la perte de
qualité de vie et des facteurs cardio-vasculaires ADEME )
C'est bel et bien un fléau à la Réunion, et le
tourisme par
hélicoptère en rajoute
par dessus les chiens enfermés ou
abandonnés, "le
tourisme de bringue", les sonos, et les moteurs poussés des
véhicules
tunning et quelques gros quads, en plus du bruit "normal" de la
circulation
et
des bruits "normaux" de voisinage qualifiable de "désordre la
ville": voici un clin d'oeil sur des
articles de
"presse"....
Le Bruit coûte cher à la mesure des dégâts qu'il
fait.
Le
bruit coûterait 57 milliards d'euros par an à la
société
C’est un chiffre qui laisse sans voix : le bruit
coûterait 57 milliards d’euros par an à la
société, selon une étude sur le coût social du
bruit en France, commandée par l’ADEME (agence de
l’environnement) et le Conseil National du Bruit (CNB),
présentée ce 14 juin dans les locaux de
l’Assemblée nationale. Christophe Bouillon, président
du CNB, répondait ce même jour aux questions de Michel Cymes
et Marina Carrère d’Encausse sur France 5. Par
la rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le
147 MILLIARDS D’EUROS : C’EST LE COUT SOCIAL DU BRUIT EN
FRANCE, PAR AN !
Laurianne ROSSI, présidente du Conseil National du Bruit (CNB),
députée des Hauts-de-Seine et questeure de
l’Assemblée nationale, et l’Agence de la Transition
écologique (ADEME) dévoilent les résultats de
leur étude sur le coût social du bruit en France.
Les conclusions montrent que l’impact du bruit représente
un coût très élevé pour la
société française dans son ensemble.
L’étude illustre aussi toute la pertinence des mesures
d’évitement du bruit, les bénéfices sociaux
apportés étant très largement supérieurs
aux coûts des investissements nécessaires, notamment
lorsque les solutions mises en œuvre présentent des
co-bénéfices avec d’autres enjeux
écologiques.
Rédigé le
Un
sondage
Ifop réalisé en ligne à la demande du
ministère de l’écologie, du développement
durable et de l’énergie auprès d’un
échantillon représentatif de 1001 personnes, du 1er au 3
septembre, indique que 82% des Français sont « préoccupés »
(in abstracto),
par les nuisances sonores. Cette préoccupation concerne
surtout les catégories socioprofessionnelles aisées
(88%).
Le
domicile n’est pas un lieu de tout repos, puisque 86% des personnes
sondées s’y disent gênées par le
bruit. Sans surprise, celles qui vivent en appartement sont le plus
touchées (93% contre 82% en maison individuelle).
Elles incriminent deux sources de nuisances principales : la
circulation routière, d’une part (67%), et le
voisinage, d’autre part (65%). Loin derrière viennent les
équipements tels que ventilation, tuyauterie ou ascenseurs (15%) ou
les chantiers de construction (12%). Les cafés, restaurants ou
discothèques sont nettement moins identifiés (6%) –
sans-doute aucune d’entre elles n’habitait-elle près du
Carreau du Temple !
Ces
personnes considèrent que le bruit des voisins, des voitures, des
chantiers ou des avions est plus gênant le jour (environ 48%) que la
nuit (environ 24%). Seul, le bruit des cafés l’est plus la
nuit (42% au lieu de 33% le jour). 75% de celles qui ont des
problèmes de voisinage pensent qu’il faut d’abord
tenter de les régler à l’amiable.
Le
bruit pourrait devenir le principal
motif de déménagement, si l’on en croit un
sondage réalisé entre le 14 et le 20 juillet par le site de
petites annonces gratuites
Vivastreet auprès de 1754 personnes.
....... En
2011, déjà, le bruit arrivait déjà en
première position des nuisances rédhibitoires chez les
futurs acquéreurs de logements (85,8%) devant l’isolation
thermique et l’éloignement des transports en commun,
d’après une enquête menée par le groupe de
Particulier à Particulier.
A
l’extérieur du domicile, c’est surtout la circulation
qui gêne les Français, comme le montrait une enquête
réalisée en 2011 par Ipsos dans le cadre de la
Journée nationale de l’audition.
"Le mal se détruira de lui même"... nous a dit M le
Curé.
Mais que peut faire Dieu si rien d'incarné lui donne un levier
d'action dans l'existence terrestre?
Seulement prier ne suffit pas, il faut aussi se rendre conscient.
(texte lu sur "Symbolique du Corps Humain d'Annick de Souzenelle)
LES LONGOSES en sont une belle illustration dans la perte
d'idendité de la forêt Réunionnaise!
Annick de
Souzenelle fait
de la littérature de haut vol mais
"les plantes mortelles de notre être, c'est belle
métaphore si on transpose à l'identité biologique
de l'île."
En effet "La Réunion" a une identité spécifique,
UNIQUE, qui existe
dans la forêt, ses oiseaux ENDÉMIQUES, Si on laisse cette
nature en
perdition être remplacée par des plantes banales, qu'on
trouve partout
ailleurs, on perd celle, unique au monde... caractérisant
l'ÊTRE qu'est
"La Réunion"...