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Le but de ce chantier est aussi de se SOIGNER.

Sur le projet d'Activité partagée avec d'autres personnes "autistes" (syndrome d'asperger)? L'idée a été lançée mais n'a pas aboutie encore à une rencontre.
Une telle activité pourrait aussi être partagée avec des personnes en mal de relations sociales, qui souffrent de solitude, qui ont besoin de ressourcement mais qui n'ont pas envie de s'ennuyer non plus.

Cela n'est en fait désormais possible ici que l'après midi à cause du tourisme aérien qui réduit trop la quiétude des lieux le matin: cette activité doit donc être pensée non plus dans le cadre d'un séjour, mais dans le cas de petites visites en saison sèche et seulement l'après midi (de 12h à 16h idéalement).

 Moi même, auteur de ses lignes, n'y met plus les pieds le matin car le résultat devient négatif "un travail ressourçant" devient "éreintant" avec 2 à 3 minutes de vacarme toutes les 6 minutes.

En cas de travail en groupe, il ne faut pas massacrer la forêt en piétinant (pour parcourir cette forêt sans marquer le sol, mieux vaut être pieds nus et habitué par une visite quotidienne, c'est pas possible pour des intervenants occasionnels), et il faut trouver quelque chose qui fasse partager le même acte.

En cas de coopération,  les intervenants participerons donc plutôt à la gestion des tas et à la séparation tige-rhizomes le long du sentier (composter ce qui peut être composté, transport).
Pour garder la possibilité de profiter d'un partage de groupe, la gestion des tas est décalée de l'arrachage: les rizhomes sont exposés à l'air et à la pluie quelques mois (si ils reprennent alors ils sont juste retourné et les tiges coupés), ce qui permet aussi de fragiliser les rizhomes, et mieux récupérer la terre, par lavage et secouage sucessifs, avant de les regrouper dans des endroits plus définitifs (dans une grotte, ou un énorme tas ou une grande partie réussi à s'étioler puis pourrir).

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texte écrit par Jean Thevenet,